À la fenêtre de mon âme
Égaré
Un nuage traverse le ciel sans se presser
L’horizon ouvre grand ses bras
Les odeurs de l’été parlent
Les vagues s’assoupissent sur la berge…
À la fenêtre de mon âme
Un oiseau se pose…
Les heures échappent à ce paysage où un bois touffu
Abrite un étang
Dans le reflet de l’eau, les ombres dansent
Le temps s’habille de l’essentiel
Au milieu de ce nulle part, les paroles sont inutiles
Faut écouter la brise…
Des souvenirs surgissent parfois à l’improviste
Ils s’invitent…
Le verbe aimer se conjugue à tous les temps
Et la vie cache des histoires inoubliables…
Les moments de sérénité n’éprouvent pas toujours le besoin de se crier…
Trouver un chemin jalonné de pierres qui débouchera sur une jolie roseraie
Se dépouiller des épines et s’enivrer simplement du parfum des fleurs
Boire à même la rosée…
ARTISTE-PEINTRE HENRI VALACHMAN
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