POÉSIE - Nibeaux Nilaids

POÉSIE

Comme autrefois

Eternel printemps

Un love d'éternité

De la pointe du coeur

Derrière la porte refermée

Coeur fracassé

Douceur infinie

Le mal de l'âme

Comme dans un livre

La rivière-vie

Défroisser son âme

Au-dessus de mon cours d'eau

Dans le silence

Pour un bleu de ciel

Au fil de l'eau

La mémoire se raconte

"Comme ils disent"

Des mots-rivière

Quand les bateaux

Un jour, un soir

Un ciel bleu, immense

Sur le banc de la vie

Dans son écrin

Parce que je nous aime

Des émotions plein le coeur

Coeur à ciel couvert

Les yeux sur le dos de la mer

Une histoire d'amour

Le ciel au-dessus de nous

Un jour( soir) de grand émoi

Comme un prolongement

Saluer le soleil

Au-dessus des flots

Un visage aimé

Par vague et lune

Le souffle de l'espérance

Simplicité désarmante

Vers mon intérieur

Une maison pose

Bleu avec des reflets changeants

La beauté se révèle

Dans mon intimité

Ce sont tes mots

Toujours des émois...

Des rêves parfumés

Regarder par la fenêtre

Écrire chaque jour

Une envie de s'étendre

L'émotion ressemble à une vague

Dans mon coffre-coeur

Dans ma chambre

Au service du coeur

L'instant unique

Franchir l'inatteignable

Sur le chemin de Compostelle

La vie est partout

La solitude et moi

Les rides racontent

Le brun-vert de l'eau

C'est ici chez moi

Le jour s'allonge

Au coeur même ...

Au bord de la vie

Les mots que l'on ne dit pas

Parler d'humanité

Au bout de nos pas

Du matin jusqu'au soir

Dans le calme des jours

Le vent me l'a dit

Le temps se raconte

Loin de tes sourires

Le reste n'appartient qu'au ciel

Entre deux éclats de rire

Vibrer avec l'univers

La femme peintre

Survoler les océans

Si je savais ...

L'amour c'est ...

Le plus grand océan du monde

Remonter le courant

Entre le ciel et la mer

Je me laisse porter

L'air se fait plus léger

Le soleil danse

Au coeur du monde

Elle pleure sa vie

Comme un violon

Dans l'intimité

Je vais vers la fenêtre

Les vagues une à une

La lumière habille la forêt

Comme une maitresse...

Le doux abandon

Le temps s'immobilise

L'âme en berne

Le chant de l'âme

MON REGARD SE PERD

Sur l'océan de la vie

J'ouvre la porte

Je vois des papillons...

Les mains sur le coeur

Au jardin de la vie

L'existence est trop brève

Au-delà des chagrins

Dans un décor tout bleu

Des fleurs oubliées

Au pays des émois

La beauté du monde

Vieillir avec amour

Un livre rempli d'histoires

Revenir vers soi

Comme les fleurs...

Au croisement de ton âme

Un coeur sans corps ou un...

Porter le monde

Se laisser chavirer

Tremper sa plume ...

Son souffle s'étire

Ce n'est pas la première fois ...

Entre deux rives

Il me semble parfois

Gravir la montagne

Le souffle coupé

Écouter l'oeuvre

Les oiseaux se sont tus

Toujours plus haut

Ses gestes sont lents

Au milieu de nulle part

Boire à même le bleu

Au plus creux de mon univers

Dans le miroir du temps

Comme une belle peine d'amour

Sur la route de la vie

Chaque jour, mon coeur

Comme une femme

Le coeur ne raisonne pas

Perdre la tête

Suivre le chemin

Faire l'amour avec la vie

Au fil de la rivière

Garder en réserve

Un peu de rouge

Une vieille partition

Elle se tenail là

Dans ses bras...

Devant la fenêtre

Entourée d'eau...

Elle n'a jamais cessé de voir

J'espère que vous avez le pied marin

Librement vôtre

Chaque rose, chaque pleur...

Elle attend toujours

A mon bras s'accroche la vie

S'aimer... peut-être trop

Comme une caresse

La bouche pleine

AU FOND DE LA MER

Toujours y croire

À FLEURS DE ROSES BLEUES

Je ne sais pas pourquoi ni comment

Laver ses bleus

L'enfant blessé

" Les bleus de l'âme"

Au bout du chemin

Le tour du jardin

Avec ou sans toi

Je suis vivante

Au hasard de mon âme

Au-delà de tout

Déposer un peu d'or

Il faut savoir aimer

Une fenêtre sur la vie

Se chercher un nouvel horizon

Tu es la plus grande

Parcourir le monde

Au clair de ma plume

Une douceur délicieuse

Il y a des jours

S'élancer avec insouciance

Une rose en bouton

Si je vous disais

Plus écorchée...

... Si grand ...

La nuit s'entend

Lorsque je vois...

Ô toi mon amour, mon ami

" Le soleil avait une douceur ce matin...

La blancheur du moment...

Enfouis au fond...

Sur le bout des lèvres

L'appel du large...

AIMER EN VERS LIBÉRÉS

Au fil des notes

Une si belle histoire

Encore de l'amour

C'est si joli, joli ...

Comme un cadeau

Avec un peu de mots...

Mon livre reste ouvert...

Ma valise-coeur

Comme l'amour...

Accord… infini

Ils sont heureux

Rien ne se perd ici...

Les vieux amants

À coeur ouvert

Du fond de ta peine

Dans un jour tout bleu

Une saison pleine ...

Comme un bruit sourd...

Si tu le veux...

Dans la dernière lueur du jour...

Un visage parle...

À LA PORTE DU COEUR

Face à face...

...Pour mieux revenir...

Respirer la vie

La femme bleue ...

Un coeur amoureux

À la fenêtre de mon âme

Je me love en toi...

Sur le dos de la mer...

Je l'entends...

Comme un bouquet...

Mon coeur bat...

Quelques larmes ...

Et même si ...

La mémoire chante

Je suis de celle

Vers de lointains paysages

Un peu plus loin

Le soleil se couche

Comme la mer ...

Le jour sommeille

J'aime penser à toi

Sur chaque fleur

LE MOMENT EST VENU

Je connais une chanson

DES MOTS D'AMOUR

Parler avec ses yeux

Mon autre coeur

Le son de l'absence

Sur la pointe des pieds

Vers un ailleurs

S'aiment les amants

Un coeur en solo

Sans se retourner

Un soir par hasard

La plume de mon coeur

Il est temps ...

Au bord de l'étang

Les mots de l'amour

ET si on s'aimait ...

L'absence s'enfuit ce soir

La femme et les roses

Au pays des souvenirs

Les amoureux fous

Un arbre médite

Belle à pleurer

À même la peau

À l'embouchure du lac

Capturer la beauté

L'instant s'immole

Chaudement vêtue

Une ode à l'amour

Des bouts de vie

La profondeur de l'amour

Plein de mots tendres

L'océan chante

Trop loin de lui

Vers la lumière

La journée s'achève

Éprise de liberté

Au bout de mon âge

Les feuilles du temps...tombent

Aussi long que notre amour

Dites-moi s'il vous plait

Souffle au coeur

Au creux de tes bras

L'enfance comme l'amour

Piano désaccordé

Au pays de l'amour

Déshabiller ma peau de ses bleus

Si je pouvais...

Entre deux palpitations

Teinté de rosée

La mer se fait belle

Dans l'air du soir

Un bout de coeur

Un nouveau visage

Drapée de nudité

Loin des yeux loin du coeur

Douceur maternelle

Briser l'indifférence

Le bonheur tranquille

Une vieille âme

Au-delà des océans

Au fond de tes yeux

Pleurs de violon

Le plus merveilleux

Dodo l'enfant do

Comme un baiser

Mille promesses

Fiançons le bleu

Au bout d'un chemin de terre

La mélodie du silence

Encore ce soir.

Bercer ses pleurs

Au bout de la rue

C'est l'automne

Les ailes repliées

Gouttelettes de tendresse

Je vais t'aimer

Jusqu'à la dernière goutte

Un bout de notre histoire

Une bouteille à la mer

Rêve un peu fou

Simplement la vie ( Conclusion )

Simplement la vie ( Partie 6 )

Simplement la vie( Partie 5 )

Simplement la vie ( Partie 4 )

Simplement la vie(Partie 3)

Simplement la vie( Partie 2)

Simplement la vie (Première partie)

Souvenirs d'été

L'art de toute une vie

Le bruit se tait

Les étoiles filantes

Au balcon de la vie

En dedans de moi

Inventer le monde

Le bonheur culbute

Ses yeux couleur de mer

Ce soir, si tu le veux

J'interroge les mots

Les étoiles valsent avec le vent

Le chagrin bâille

Chaque moment possède son pays

Des mains remplies de tendresse

L'instant est unique

Plus triste que nos légendes

Enveloppée de souvenirs

C'est l'heure de la paresse

Un enfant vient de naître

Perdue dans mes pensées

Soleil indiscret

Jaser à petit bruit

L'homme qui chancelle

Un enfant a droit au bonheur

Parfumer notre intérieur

Il suffirait peut-être

Il m'arrivait tout le temps

C'était le temps de ma jeunesse

Fermons les yeux

L'univers pleure (2)

L'univers pleure

Du bout de mes doigts

Un soleil en larme

L'amour heureux

J'ai peur du noir

Tout en moi s'émerveille

L'homme qui criait sa colère

L'amour enfante toujours

Savoir cueillir

Avant d'éteindre doucement la lumière

La terre s'incline

L'enfant rit...

Un coeur saignant

Toute de blanc vêtue

Les yeux de ma mère.

Larmes silencieuses.