Baiser mouillé
Devant le soleil couchant, je m’habille de douceur. Mon petit cœur de rose frémit
comme le baiser mouillé de l'enfant que je suis encore et toujours. Mon âme gazouille comme
l'oiseau perché sur sa branche et mes larmes se sont évaporées avec la rosée matinale. Avec le
crépuscule qui s’allonge, telle une fillette en tutu rose, le silence de l'océan, fredonne
la symphonie de l’absolu.
FFA 00051195
Réflexion inspirée de l'oeuvre d'Anita Bérubé:
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