Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Dépouillée

 

À la croisée de nos désirs

 

L’aurore m’habille de rosée

 

La brise défait ma chevelure dorée

 

Qui s’écroule pour laisser s’échapper

 

Des silences et des soupirs.

 

Ton corps m’appelle

 

Tes yeux m’interpellent

 

De ma bouche framboise et sucrée

 

Je savoure chaque seconde

 

Et

 

Je souris comme la Joconde.

 

Dépouillée

 

Sans retenue

 

Nue

 

Dans tes bras

 

J’éclate de joie.

 

Car les vagues en toi

 

S’abandonnent

 

Comme l’amante en moi

 

Qui se donne.

 

FFA 00051195

 



12/07/2012
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