Ni beaux ni laids

À partir de «  Les carnets de la CTEJ » réflexions sur le conte suivies de Chagrin d’amour de Jean Debefve.

Vous ne serez pas étonnés que je vous partage certains extraits de ce livre qui me parlent. En effet, je suis une amoureuse inconditionnelle du conte, de ces récits qui mêlent la cruauté et la tendresse.

«  Je trouvais plus de sens profond dans les contes qu’on m’a racontés dans mon enfance, que dans les vérités enseignées par la vie ». Schiller.

Les contes et les légendes ne font pas oublier la réalité de la vie. Les contes et les légendes peuvent aider à apprivoiser certaines difficultés. » La véritable poésie du conte ne se situe pas dans le fantastique, mais dans la confiance que l’homme peut vaincre toutes les difficultés et qu’il s’avère capable de modifier les rapports humains ».

Le conte est le récit d’une transformation, qui évolue vers l’espoir… »

Le conte est plein de formules extraordinaires comme : «  va le Magnifique, Miroir Magique, dis-moi qui est la plus belle…et les animaux, les objets peuvent parler, le temps est malléable…Et la «  puissance d’un texte jeune public-se mesure à son universalité ».

L’auteur parle aussi dans ce livre des pièces de théâtre, des conteurs et de la pîèce de Jean-Pierre Dopagne pour sa pièce Chagrin d’amour.