Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

J'ai peur

J’ose écrire ce qui m’habite aujourd’hui, car je reste une raconteuse d’émotions et écrire fait

 

tellement de bien. Hier, nous avons souligné le soixante-dix-sept ans de mon père. J’étais heureuse

 

d’être près de lui, mais j’avais l’impression de voir le grand chêne de mon enfance perdre son écorce

 

et se déraciner peu à peu. La maladie de l’Alzheimer continue ses ravages. J’ai peur de cette

 

vieillesse malade, en perte d’autonomie…

 

Oui, j'ai peur.



09/11/2011
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